COMPTE | saphiras

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À propos de : Seul dans le noir

Un bon cru de Paul Auster, même si la fin de l’histoire que nous raconte le narrateur aurait mérité un meilleur traitement par l’auteur.

Paul Auster laisse dans les dernières pages du livre toutes les tensions familiales, tous les non-dits et les secrets se révéler avant la levée du jour, à travers un dialogue poignant entre August et sa petite-fille, où le premier raconte à la seconde l’amour qu’il portait à sa femme, en partageant avec elle tant le bien que le mal, tant les travers que les vertus, tant le bonheur que le malheur

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Initier les étudiants -ou les novices- à la philosophie, sans passer par des concepts compliqués, tout en instaurant un dialogue est la pari lancé par Albert Jacquard, interrogé par Huguette Planès.

Tous les thèmes d'actualité y sont traités de manière à amener le lecteur à s'interroger à son tour.

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Ce roman d’Eric-Emmanuel Schmitt, très court, se lit comme un conte philosophique, où un jeune déclassé, qui a oublié ses origines et sa famille, va, grâce au sport, à la compétition et à la spiritualité retrouver peu à peu des repères et devenir un homme. C’est donc un roman sur le passage de l’adolescence à l’âge adulte : « le but n’est pas le bout du chemin, c’est le cheminement ».
Le sumo qui ne pouvait pas grossir nous plonge aussi dans la philosophie zen, grâce à laquelle Jun arrivera à maitriser peu à peu ses émotions, et ce qu’il appelle son ‘allergie universelle’.

L’écriture est également facile, mais après tout, Schmitt n’est pas le nouveau La Fontaine et Le sumo qui ne pouvait pas grossir reste malgré tout plus qu’agréable à lire.

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