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De mon plein gré
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Elle a passé la nuit avec un homme et est venue se présenter au poste de police. Alors ce dimanche matin, au deuxième étage du commissariat, une enquête est en cours. L’haleine encore chargée de rhum-coca, elle est interrogée par le Major, bourru et bienveillant, puis par Jeanne, aux avant-bras tatoués, et enfin par Carole, qui vapote et humilie son collègue sans discontinuer. Elle est expertisée psychologiquement, ses empreintes sont relevées, un avocat prépare sa défense, ses amis lui tournent le dos, alors elle ne sait plus exactement... A-t-elle commis l’irréparable ?
L’autrice dissèque tout en finesse un enchaînement implacable qui en vient à insidieusement culpabiliser de la violence qu’on a subie gratuitement. Libération.
C’est peut-être la patte de Mathilde Forget : savoir aborder les sujets les plus graves avec une légèreté qui n’appartient qu’à elle. Je n’ai jamais lu ça ailleurs. Delphine de Vigan.
Après un roman très remarqué, Mathilde Forget signe De mon plein gré : un bref livre qui ne rentre dans aucune case, sinon celle de la littérature. Virginie Bloch-Lainé, Elle.