Il faut que tout change pour que rien ne change. C’est ce qu’Irene Vallejo, dans ces brèves chroniques, pointe avec son savoir de philologue, sa plume sans pareille et son ironie aimable. Convoquant voix et mythes du passé, elle décrypte en virtuose notre époque : clientélisme, exhibitionnisme des réseaux sociaux, oisiveté, indignés, impunité, fragile démocratie, expérience du chagrin, sans oublier les ingrédients du bonheur. Questionnant les tristesses et les espoirs qui peuplent notre quotidien, elle nous fait entrevoir cette permanence des choses comme des êtres qui engage notre avenir. La proximité des êtres humains, au-delà du temps qui passe, voilà ce à quoi ces instantanés situés mais intemporels nous invitent à réfléchir. La Bruyère appelait cela des Caractères. Irene Vallejo leur donne le nom d’Étincelles.
L’écrivaine espagnole décrypte avec sensibilité notre époque et quelques-uns de ses travers. Une plongée dans l’Antiquité terriblement actuelle et une vraie bouffée d’air frais. Christian Desmeules, Le Devoir.
On s’instruit avec légèreté, mais non sans profondeur. Élodie Maurot, La Croix.
Choix inédit des textes et traduction de l’espagnol (Espagne) par Anne Plantagenet.
L’écrivaine espagnole décrypte avec sensibilité notre époque et quelques-uns de ses travers. Une plongée dans l’Antiquité terriblement actuelle et une vraie bouffée d’air frais. Christian Desmeules, Le Devoir.
On s’instruit avec légèreté, mais non sans profondeur. Élodie Maurot, La Croix.
Choix inédit des textes et traduction de l’espagnol (Espagne) par Anne Plantagenet.