— Mais qu’est-ce que tu faisais pendant tout ce temps, dehors ?
— Rien.
— Comment ça, rien ?
— J’attendais dehors.
— C’est ça que tu veux faire de ta vie ? Attendre pendant que les autres travaillent et s’amusent ? C’est ton avenir ? Je ne t’ai pas mis au monde pour ça.
Je me mordis la langue pour ne pas lui dire à quel point elle avait touché la vérité sous son sarcasme de mère déçue. Elle n’aurait jamais pu comprendre le bonheur qu’il y avait à regarder passer des trains sans jamais les prendre.
Un premier roman prodigieux. Charles Dubois, Oblomov du XXIe siècle, nous ravit dans un monde saturé d’engagements. Il a tout laissé tomber, pour se concentrer sur lui-même, et pour observer, sans jugement. Lecteurs, plongez dans ce livre, l’eau y est chaude. Vincent Jaury, Transfuge.
Julien Leschiera nous offre un fascinant antihéros : le fainéant magnifique.
Pierre Maury, Le Soir.
Une vraie prouesse que d’attraper notre époque dans ses filets sur plus de cinq cents pages de l’autobiographie d’un oisif solitaire. Alexandre Fillon, Le Figaro littéraire.
Une galerie pleine de névroses, à la fois hilarante et signifiante. Youness Bousenna, Télérama.
— Rien.
— Comment ça, rien ?
— J’attendais dehors.
— C’est ça que tu veux faire de ta vie ? Attendre pendant que les autres travaillent et s’amusent ? C’est ton avenir ? Je ne t’ai pas mis au monde pour ça.
Je me mordis la langue pour ne pas lui dire à quel point elle avait touché la vérité sous son sarcasme de mère déçue. Elle n’aurait jamais pu comprendre le bonheur qu’il y avait à regarder passer des trains sans jamais les prendre.
Un premier roman prodigieux. Charles Dubois, Oblomov du XXIe siècle, nous ravit dans un monde saturé d’engagements. Il a tout laissé tomber, pour se concentrer sur lui-même, et pour observer, sans jugement. Lecteurs, plongez dans ce livre, l’eau y est chaude. Vincent Jaury, Transfuge.
Julien Leschiera nous offre un fascinant antihéros : le fainéant magnifique.
Pierre Maury, Le Soir.
Une vraie prouesse que d’attraper notre époque dans ses filets sur plus de cinq cents pages de l’autobiographie d’un oisif solitaire. Alexandre Fillon, Le Figaro littéraire.
Une galerie pleine de névroses, à la fois hilarante et signifiante. Youness Bousenna, Télérama.