« J’étais venu pour me perdre, et j’avais eu ce que je désirais, mais c’était pire encore. Il n’y avait rien au cœur du labyrinthe. Juste moi-même. »
1994. Entre ses études de commerce et son petit couple banlieusard, Fabrice traîne son ennui dans le Marais. Tout change quand il rencontre lago et Brume. Frère et sœur, ou amants ? Cyniques, brillants, et autodestructeurs, surtout. Axel vient compléter le vénéneux trio de ces enfants terribles qui introduisent l’étudiant dans l’hôtel particulier du Marquis, aux soirées très privées. Paris de jouissance, et de danger : le sida rôde. Et une énergie noire pulse sous les néons. Fabrice tangue entre ses désirs, ses ambitions et ses failles. Que vient-il chercher dans ce monde qui n’est pas le sien ?
Fabrice Colin signe probablement son livre le plus personnel à ce jour, un roman initiatique, en partie autobiographique, au titre baudelairien. Christian Saint-Pierre, Le Devoir (Québec).
Le désenchantement de cette génération qui a eu vingt ans dans les années 1990 est saisi avec justesse et sans complaisance dans ces lignes envoûtantes. Hubert Prolongeau, Télérama.
1994. Entre ses études de commerce et son petit couple banlieusard, Fabrice traîne son ennui dans le Marais. Tout change quand il rencontre lago et Brume. Frère et sœur, ou amants ? Cyniques, brillants, et autodestructeurs, surtout. Axel vient compléter le vénéneux trio de ces enfants terribles qui introduisent l’étudiant dans l’hôtel particulier du Marquis, aux soirées très privées. Paris de jouissance, et de danger : le sida rôde. Et une énergie noire pulse sous les néons. Fabrice tangue entre ses désirs, ses ambitions et ses failles. Que vient-il chercher dans ce monde qui n’est pas le sien ?
Fabrice Colin signe probablement son livre le plus personnel à ce jour, un roman initiatique, en partie autobiographique, au titre baudelairien. Christian Saint-Pierre, Le Devoir (Québec).
Le désenchantement de cette génération qui a eu vingt ans dans les années 1990 est saisi avec justesse et sans complaisance dans ces lignes envoûtantes. Hubert Prolongeau, Télérama.