Il y a des récits qui avancent par images nettes : une époque, une maison, une famille, et ce qui affleure derrière les apparences. Les Rêveurs installe ce cadre dans les années 70, au plus près d’une jeune fille qui découvre le monde « compliqué des adultes », leurs métamorphoses, et le chemin parfois instable vers la liberté.
Dans le même mouvement, le livre fait émerger un fil structurant : le théâtre — non comme décor, mais comme expérience qui révèle et transforme.
