Le dernier vœu ouvre la voie à la saga mythique Le Sorceleur. Ce premier tome, composé de nouvelles entremêlées, nous plonge dans un univers où les épées d’argent croisent les sortilèges, et où Geralt de Riv, chevalier sans blason mais au code d’honneur inébranlable, arpente les chemins du Continent. Entre malédictions, créatures maudites et dilemmes moraux, chaque récit est une quête, chaque page une épreuve. Déjà sacré dans les royaumes du petit écran et du jeu vidéo, ce classique de la fantasy revient enrichi d’une préface signée Benjamin Brillaud (Nota Bene), comme un parchemin précieux transmis aux nouveaux aventuriers.
Avec L’épée de la providence, la saga gagne en profondeur et en émotion. Les liens du destin se resserrent entre Geralt, la magicienne Yennefer, aussi redoutable qu’ensorcelante, et la jeune Ciri, héritière d’un avenir aussi incertain que légendaire. Andrzej Sapkowski tisse ici une tapisserie où se mêlent combats épiques, joutes verbales et réflexions sur la nature humaine. Dans ce monde où les monstres ne sont pas toujours ceux que l’on croit, chaque rencontre est une épreuve, chaque choix une lame à double tranchant.
Lecteur, l’heure est venue d’empoigner votre lame et d’ouvrir ce grimoire : une aventure littéraire vous attend, entre ombre et lumière, acier et sortilèges.