« Le coup de téléphone est arrivé, et mon cœur a cogné contre mon sternum. J’avais le rôle. J’avais fait mon entrée dans le show-business. Ma seule hésitation, c’était Clyde. Maman et Lottie m’ont alors proposé de s’occuper de lui. J’ai accepté cette solution, en me disant que lorsque j’aurais percé, et j’y comptais bien, je louerais un grand appartement à Manhattan et engagerais une gouvernante pour mon fils. Et pendant mes tournées à l’étranger, je l’emmènerais, avec la gouvernante et pourquoi pas un professeur particulier. Ma vie s’ordonnait aussi résolument que les marches d’un escalier de marbre, et je m’apprêtais à grimper jusqu’aux étoiles. »
Dans ce troisième roman autobiographique, Maya Angelou livre avec tendresse et clairvoyance le portrait émouvant de la jeune femme qu’elle était, et celui, drôle et profond, de la naissance d’une icône.
Irrésistible. Nathalie Crom, Télérama.
Lire Maya Angelou, c’est écouter un morceau de jazz. C’est un ravissement que ce récit des vingt ans d’une artiste en devenir. Gladys Marivat, Le Monde des livres.
Dans ce troisième roman autobiographique, Maya Angelou livre avec tendresse et clairvoyance le portrait émouvant de la jeune femme qu’elle était, et celui, drôle et profond, de la naissance d’une icône.
Irrésistible. Nathalie Crom, Télérama.
Lire Maya Angelou, c’est écouter un morceau de jazz. C’est un ravissement que ce récit des vingt ans d’une artiste en devenir. Gladys Marivat, Le Monde des livres.