3 octobre 1940. Cela fait dix-sept jours que les hommes du commandant Todaro ont quitté le port de la Spezia à bord du sous-marin Cappellini. Franchir le détroit de Gibraltar expose au plus grand des dangers, les Anglais tirent en continu. Mais Todaro a l’habitude des missions périlleuses. Et celle-ci n’est pas des moindres : tendre une embuscade au milieu de l’Atlantique. Un soir, la silhouette d’un navire découpe l’horizon, tous feux éteints. On distingue un canon sur son pont. Todaro n’hésite pas : il le torpille. Bientôt, des ennemis rejoignent le périmètre du sous-marin à la nage. Todaro prend alors la décision la plus folle qui soit : les secourir. Car ces corps qui flottent dans la mer noire ne sont déjà plus des adversaires mais des naufragés.
Voici un épisode lumineux, bien que méconnu, de la Seconde Guerre mondiale. Avec Commandant, deux des meilleurs conteurs italiens signent un roman haletant afin de dénoncer la barbarie et porter haut les valeurs d’humanité et de fraternité.
Traduit de l’italien par Dominique Vittoz.
Voici un épisode lumineux, bien que méconnu, de la Seconde Guerre mondiale. Avec Commandant, deux des meilleurs conteurs italiens signent un roman haletant afin de dénoncer la barbarie et porter haut les valeurs d’humanité et de fraternité.
Traduit de l’italien par Dominique Vittoz.
