Algérie, 1954. Made et Nour grandissent au pied des montagnes du Djurdjura dans l’oliveraie appartenant à la famille de Made. Un demi-siècle plus tard, Laure, née en France, part à la recherche de ses racines jusqu’en Kabylie. Les arbres témoins du passé bruissent encore du lien indéfectible des deux fillettes courant pieds nus, attrapant les oiseaux pour la joie de les libérer. Mais pourquoi ce mystère autour d’elles ? Que s’est-il passé dans l’oliveraie ? Que peut l’attachement à une terre face à un embrasement ?
Isabelle Desesquelles livre une fresque magistrale portée par quatre générations de femmes magnétiques. Sur la trace de ses ancêtres, elle enquête, interroge un silence et chahute les souvenirs dans un roman poignant et solaire.
Lumineux et déchirant. Isabelle Desesquelles explore son écartèlement entre la mémoire et l’oubli, son sentiment d’avoir été expropriée de son passé. Sébastien Lapaque, Le Figaro.
Sans doute le plus délicat de ses textes, d'une rare intensité, terriblement puissant et émouvant. Valérie Barbe, librairie Au brouillon de culture (Caen), Page des libraires.
Isabelle Desesquelles livre une fresque magistrale portée par quatre générations de femmes magnétiques. Sur la trace de ses ancêtres, elle enquête, interroge un silence et chahute les souvenirs dans un roman poignant et solaire.
Lumineux et déchirant. Isabelle Desesquelles explore son écartèlement entre la mémoire et l’oubli, son sentiment d’avoir été expropriée de son passé. Sébastien Lapaque, Le Figaro.
Sans doute le plus délicat de ses textes, d'une rare intensité, terriblement puissant et émouvant. Valérie Barbe, librairie Au brouillon de culture (Caen), Page des libraires.
