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La Septième Vague
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Leo Leike était à Boston en exil, le voici qui revient. Il y fuyait la romance épistolaire qui l'unissait en esprit à Emmi. Elle reposait sur trois principes : pas de rencontres, pas desexe, pas d'avenir. Faut-il mettre un terme à une histoire d'amour où l'on ne connaît pas le visage de l'autre ? Où l'on rêve de tous les possibles ? Où les caresses sont interdites ? «Pourquoi veux-tu me rencontrer ?» demande Leo, inquiet. «Parce que je veux que tu en finisses avec l'idée que je veux en finir», répond Emmi, séductrice. Alors, dans ce roman virtuose qui joue avec les codes de l'amour courtois et les pièges de la communication moderne, la farandole continue, le charme agit, jusqu’au dernier mail…
La Septième Vague est comme une série télé : on en devient vite accro. Bruno Corty, Le Figaro littéraire.
Les derniers avis
C’est avec un grand plaisir que j’ai retrouvé la suite de Quand souffle le vent du Nord. J’ai dévoré ce roman qui est très court, impossible de lâcher avant d’avoir lu le mail suivant...
Un livre qui comme le premier est dans l’air du temps, et dans lequel nous retrouvons Leo et Emmi fidèles à eux-mêmes, bref le jeu du chat et de la souris continue même si, cette fois-ci, la réalité entre en scène...La forme est identique au premier, il est uniquement constitué de mails drôles, touchants, piquants et on savoure l’acuité de certaines répliques.
Leo est toujours aussi craquant, lorsqu’il évoque le fameux point de contact cela m’a émue, il est irrésistible...Emmi est adorable malgré sa jalousie et ses autres petits défauts. Ces deux-là sont toujours aussi horripilants et perdus dans leurs hésitations : ils veulent, ne veulent pas ; ils avancent puis ils reculent...On éprouve souvent le besoin de les secouer et de leur crier: "mais vous êtes faits l’un pour l’autre alors ESSAYEZ bon sang, PRENEZ LE RISQUE!" (eeuuh je reprends les majuscules si chères à Emmi mais une fois seulement promis !).
J’ai beaucoup aimé même si cette suite a perdu en charme et en magie.
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