« La carte est le territoire. Si vous falsifiez la carte, vous modifiez le territoire. »
Nell a perdu sa mère il y a trente ans, et c’est maintenant son père, un célèbre cartographe de la New York Public Library, que l’on vient de retrouver mort dans son bureau. Nell l’adorait et voulait embrasser la même carrière que lui, mais un incident professionnel entre eux en a décidé autrement. En fouillant dans un tiroir paternel, la jeune femme retrouve la maudite carte routière, document qui leur avait valu une dispute homérique et lui avait coûté sa carrière. Nell ne tarde pas à remarquer qu’elle comporte une erreur singulière, une signature pour les initiés à l’art de la cartographie. Pour percer ce mystère, elle contacte des amis de ses parents. Ils formaient un groupe de sept personnes très soudées : les Cartographes. Qu’ont-ils découvert ? Quels crimes ont-ils commis contre la réalité ?
Situé quelque part entre Dick et Borgès, voilà un récit qui, par sa densité et son originalité manifeste, nous empoigne jusqu’à sa dernière ligne. Jean-Pierre Andrevon, L’Écran fantastique.
Une histoire bouleversante et fascinante. Pierrick Fay, Les Échos.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Anne-Sylvie Homassel.
Nell a perdu sa mère il y a trente ans, et c’est maintenant son père, un célèbre cartographe de la New York Public Library, que l’on vient de retrouver mort dans son bureau. Nell l’adorait et voulait embrasser la même carrière que lui, mais un incident professionnel entre eux en a décidé autrement. En fouillant dans un tiroir paternel, la jeune femme retrouve la maudite carte routière, document qui leur avait valu une dispute homérique et lui avait coûté sa carrière. Nell ne tarde pas à remarquer qu’elle comporte une erreur singulière, une signature pour les initiés à l’art de la cartographie. Pour percer ce mystère, elle contacte des amis de ses parents. Ils formaient un groupe de sept personnes très soudées : les Cartographes. Qu’ont-ils découvert ? Quels crimes ont-ils commis contre la réalité ?
Situé quelque part entre Dick et Borgès, voilà un récit qui, par sa densité et son originalité manifeste, nous empoigne jusqu’à sa dernière ligne. Jean-Pierre Andrevon, L’Écran fantastique.
Une histoire bouleversante et fascinante. Pierrick Fay, Les Échos.
Traduit de l’anglais (États-Unis) par Anne-Sylvie Homassel.