Vous ne la connaissez pas, pourtant elle a tenu le monde entre ses mains. Au lendemain de la Première Guerre mondiale, Gertrude Bell a dessiné les frontières de l’Orient, dans ce désert sauvage où tout a commencé : le pays entre les deux fleuves, le Tigre et l’Euphrate. Aventurière, archéologue, espionne, parlant l’arabe et le persan, elle fut la femme la plus puissante de l’Empire britannique, mais aussi une héroïne tragique. Idéaliste comme son ami et frère d’âme Lawrence d’Arabie. Impérialiste et courageuse comme le jeune Winston Churchill. Enfant aimée et incomprise d’une riche famille victorienne. Amoureuse éperdue. Et une énigme pour nous : celle des femmes que l’Histoire a effacées. Olivier Guez lui rend sa gloire et nous offre une épopée flamboyante.
Le monumental Mesopotamia est sans conteste le meilleur livre d’Olivier Guez. Le plus brillant et, certainement, le plus longuement sculpté. Étienne Gernelle, Le Point.
Éblouissant. Un roman inoubliable. Leïla Slimani, Elle.
Prix Jean d’Ormesson.
Le monumental Mesopotamia est sans conteste le meilleur livre d’Olivier Guez. Le plus brillant et, certainement, le plus longuement sculpté. Étienne Gernelle, Le Point.
Éblouissant. Un roman inoubliable. Leïla Slimani, Elle.
Prix Jean d’Ormesson.
