Quelques jours après la parution de son premier livre, Vanessa Springora apprend la disparition brutale de son père. En vidant son appartement, elle y découvre deux photos de son grand-père paternel qui la plongent dans la sidération. C’est le début d’une traque obsessionnelle pour comprendre qui était réellement cet homme pris dans la tragédie des deux totalitarismes du XXe siècle.
Une enquête kaléidoscopique qui révèle l’héritage d’un vécu enfoui, et les effets dévastateurs du non-dit.
Vanessa Springora ne se situe ni dans le registre de la vengeance ni dans celui du ressentiment, mais plutôt du côté du partage et de la transmission. C’est la démarche d’affrontement du réel d’une mère qui veut transmettre à son fils comment elle a pu prendre son nom, désormais le sien. Laure Adler, Les Inrockuptibles.
Un style d’une lucidité transperçante quand l’autrice plonge en elle-même, astringent quand elle brosse le portrait de son père, vif quand elle se glisse dans d’autres peaux pour combler les failles d’un passé qui se dérobe. Élise Lépine, Le Point.
Patronyme se révèle aussi une oraison funèbre et un poignant texte de pardon. Raphaëlle Leyris, Le Monde.
Une enquête kaléidoscopique qui révèle l’héritage d’un vécu enfoui, et les effets dévastateurs du non-dit.
Vanessa Springora ne se situe ni dans le registre de la vengeance ni dans celui du ressentiment, mais plutôt du côté du partage et de la transmission. C’est la démarche d’affrontement du réel d’une mère qui veut transmettre à son fils comment elle a pu prendre son nom, désormais le sien. Laure Adler, Les Inrockuptibles.
Un style d’une lucidité transperçante quand l’autrice plonge en elle-même, astringent quand elle brosse le portrait de son père, vif quand elle se glisse dans d’autres peaux pour combler les failles d’un passé qui se dérobe. Élise Lépine, Le Point.
Patronyme se révèle aussi une oraison funèbre et un poignant texte de pardon. Raphaëlle Leyris, Le Monde.
