« Le carnet de voyage est une activité que j’ai pratiquée depuis longtemps sur plusieurs continents. Jamais cependant je n’avais accepté de donner un cours aussi libre et aussi long à cet exercice. Sans doute ai-je senti une parenté secrète entre l’aquarelle et ce monde amazonien fait de couleurs diluées dans les eaux. »
Jean-Christophe Rufin a descendu en 2020 le fleuve Amazone au Brésil sur près de 3 000 kilomètres, en empruntant les bateaux-bus qui transportent de villes en villages les populations locales. Muni de quelques feutres, il s’est livré pendant des semaines à un « exercice d’abandon ». Ce carnet restitue en images les émotions de cet étonnant périple, au rythme alangui de la navigation. On y retrouve le talent de conteur, l’humour et la poésie qui font le succès de l’auteur de Rouge Brésil.
Derrière ce livre où cohabitent harmonieusement textes et dessins, il y a tout un art du voyage – notamment sur cette question du temps et de la patience –, qui est aussi un art de vivre avec la nature. Mohammed Aïssaoui, Le Figaro littéraire.
Jean-Christophe Rufin a descendu en 2020 le fleuve Amazone au Brésil sur près de 3 000 kilomètres, en empruntant les bateaux-bus qui transportent de villes en villages les populations locales. Muni de quelques feutres, il s’est livré pendant des semaines à un « exercice d’abandon ». Ce carnet restitue en images les émotions de cet étonnant périple, au rythme alangui de la navigation. On y retrouve le talent de conteur, l’humour et la poésie qui font le succès de l’auteur de Rouge Brésil.
Derrière ce livre où cohabitent harmonieusement textes et dessins, il y a tout un art du voyage – notamment sur cette question du temps et de la patience –, qui est aussi un art de vivre avec la nature. Mohammed Aïssaoui, Le Figaro littéraire.