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Le Fils de l'Homme invisible
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Je m’appelle François Berléand, j’ai presque onze ans et je ne prends pas la parole sans y avoir été invité par un adulte. Je mange de tout, même si je n’ai pas une grande passion pour les carottes bouillies, les endives ou les épinards. Mais ce que je déteste par dessus tout, c’est le chou-fleur. […] Je suis AB négatif, ce qui est déjà très rare, et je suis le fils de l’Homme invisible.
F. B.
Un soir d’hiver, dans la famille Berléand, le père de François déclare à son fils: « De toute façon, toi, tu es le fils de l’Homme invisible. C’est le début d’une singulière et terrible histoire d’enfance et d’adolescence, chahutée tout d’abord, puis brisée peu à peu par ce qui aurait dû rester une mauvaise plaisanterie. François Berléand aura attendu le temps et le recul nécessaire pour l’écrire enfin.